Blake Lane-Phelps
Messages : 52 Date d'inscription : 25/01/2010
• IN MY LIFE Profession: Homme d'affaires Lieu de résidence: Londres, Angleterre Liens:
| Sujet: BL. — « with a gun, make your shot. let's hope for better shit » Lun 25 Jan - 22:28 | |
| BY ???
nom : « Lane-Phelps. Mes parents ont jamais été d'accord sur quoi que ce soit, alors pour éviter d'engendrer une troisième guerre mondiale, ils m'ont donnés chacun leur héritage afin que j'apprenne plus tôt que les autres l'alphabet quand je saurai écrire mon nom... » prénom(s) : « Blake. Je dirais pas commun, je dirais pas original non plus. Mais ça me va. Ma petite soeur était incapable de dire mon nom quand on était gamins, et m'appelait Lake. J'trouve pas vraiment ça plus simple, mais j'ai jamais été en mesure de lui en vouloir, à elle, pour quoi que ce soit, alors bon! » âge : « Je viens tout juste d'avoir vingt-quatre ans, putain, qu'est-ce que ça passe vite!» date de naissance : « 1er janvier. Un bébé du Nouvel An. J'ai même passé dans les journaux quand je suis né, parce que j'étais le premier bébé de l'année. La classe, quoi ! » lieu de naissance : « Plymouth, Angleterre » nationalité : « Anglais. Mon père est très fier de ça, ma mère aurait voulu que je naisse en Écosse, comme elle. Je peux évidemment pas les avoir rendu heureux tous les deux, parce que je suis incapable de naître deux fois à deux endroits différents » occupation : « J'ai fait mes études en relations internationales, alors je travaille pour une grosse firme, salaire et conditions d'enfer, pour aller rencontrer ça et là des gens pour eux. J'aime beaucoup ce que je fais, sans blague » lieu de résidence : « Normalement j'habite à Londres, si on veut, parce que je suis rarement à la même place. Simplement parce que ça le fait et qu'un copain de la fac m'avait mis au défi de réussir un jour à en avoir un, j'ai un pied-à-terre aux Amériques, dans les Hamptons. La classe *bis*
Well I guess it just suggests that this is just what happiness is Listez cinq points importants concernant votre caractère, votre vie, vos goûts... • Avoir une copine. Vous savez, finir les cours, en avoir marre, s'étendre sur un canapé et tendre le bras pour lui téléphoner, lui demander ce qu'elle fait et si elle a envie de venir vous rejoindre et, qu'évidemment, elle en a envie? Ça ne m'est jamais réellement arrivé. Après la fac, j'ai jamais resté dans un endroit bien longtemps, et c'est la galère d'appeler une fille que l'on fréquente en Angleterre d'Afrique du Sud. J'avoue qu'à 24 ans, ce n'est pas ma priorité, mais j'imagine que ça doit être bien que quelqu'un s'inquiète d'où on a passé la nuit et si les affaires vont bien. Évidemment, je ne pratique pas l'abstinence, mais je considère que ce n'est pas la même chose que de vraiment être avec quelqu'un. Quoi qu'il en soit, quand y'a quelque chose, on a un truc entre Linnae et moi. Ma partenaire d'affaires. Ma compagne de voyages. Disons que ça a fallu un voyage pour qu'on se trouve des atomes crochus et des besoins similaires que l'un l'autre ont se satisfait de manière explosive...
• J'ai des goûts qui dérangent carrément mon père, mais qui font plaisir à ma mère. Je vous jure, peu importe ce que je vais faire dans ma vie, je vais toujours décevoir l'un. Allons-y simplement parce que mon père est un bourgeois, et ma mère est une fille du peuple. C'est assez féodal, dit comme ça, mais c'est le cas. Si mon père aimerait que j'ingurgite du cavier et du Dom Pérignon, je me plais largement plus avec un cheeseburger et une bière. Si ma mère voudrait que je porte n'importe quel morceau de linge, peu importe d'où ça vient, je suis pointilleux sur les chemises que je porte et sur les souliers. Pour le reste, les jeans troués, c'est pas mal mon truc. Mon père est fier de moi parce que je suis devenu un important membre d'une boîte qui roule des millions de dollars, ma mère aurait préféré que je ne laisse pas tomber la guitare quand j'étais encore au collège et que je persévère dans l'art, comme elle. Je vous jure, je galère en dingue pour essayer de partager mes actions pour que ça plait parfois à l'un, parfois à l'autre. Une tare que je suis le seul à porter, car peu importe ce que fait Saorise, jamais ils vont s'entredéchirer pour ça. Il n'y en a pas de justice dans ce bas monde, c'est moi qui vous le dit!
• J'ai eu droit à la tirade quand j'étais à la fac que j'étais à la limite aussi féminine que l'était la professeur d'histoire, c'est-à-dire un brushing parfait, des ongles roses et des vêtements ajustés. C'était une blague récurrente, à laquelle je répliquais tout simplement qu'à défaut de déranger les mecs, j'vous jure que d'être soigneusement vêtu avec une petite touche grunge, ça fait tomber les filles. On n'a même pas à se questionner qui a amené la plus belle femme au bal de notre promotion, car je vous dis que ce n'était assurément pas les types qui ont l'air de descendre tout droit du Cromagnon, sans aucun signe d'évolution entre eux et leurs ancêtres. Ouais, j'ai toujours les cheveux dans un savant n'importe quoi, je ne bois pas comme un ivrogne la plupart du temps - sauf lorsque j'écoute un match de football américain à la télévision - et puis j'suis capable de porter ce que j'porte tous les jours pour une réunion affaire, la plupart du temps. Ça a joué pour moi, finalement, avoir un petit air efféminé, et de toute façon, j'sais très bien me défendre avec les mots, les poings, merde, c'est dépassé. Même Hulk Hogan l'a compris, ça, nom de Dieu!
• Une large part de mon histoire se rapporte à une personne. Saorise Lane-Phelps. Un petit air de déjà-vu ? C'est ma petite soeur, la précieuse petite princesse qui, à force d'avoir toujours eu tout ce qu'elle voulait, ne peut pas concevoir qu'on ne lui obéisse pas au doigt et à l'oeil. Je veux dire, si je ramenais une fille à la maison qu'elle décidait de ne pas apprécier du tout, elle s'arrangeait évidemment pour faire des remarques qui peuvent paraître, à la base, anodines, mais qui, accumulées, deviennent aussi agaçantes que possibles. Je soupçonne ma petite soeur de ne pas avoir envie que je fréquente de demoiselle, mais je n'ai pas de preuves tangibles outre le fait qu'aucune des filles que j'ai plus ou moins fréquenté ne lui ont plus. Ma pire erreur a été d'en invité une à manger à la maison, alors que ça avançait doucement avec elle. Sao a fait des trucs pas possibles en affichant clairement son mépris. Ni moi, ni les parents n'ont été suffisamment fermes à son égard qu'elle se croit maintenant tout permis. Je suis à blâmer, parce que je ne peux rien lui refuser, jamais lui en vouloir. C'est ma petite-soeur, et même si c'est pas bien de l'excuser pour tout, je fais pas autrement. De toute façon, quand on est que tous les deux, elle est une perle. Ça doit être le reste de l'humanité qui l'agace. D'ailleurs, je la vois moins depuis quelques temps, puisque j'suis toujours parti à gauche et à droite, alors j'ignore ce qu'elle devient.
• Les endroits que je préfère dans le monde entier, je pourrais les nommer comme ça, rien que pour me rappeler le plaisir que j'ai à voyager pour ma boîte et d'avoir le temps, parfois, de faire un peu de tourisme. Un truc qui me rappelle l'enfance, d'abord, les plaines luxuriantes de l'Écosse, où on allait voir notre grand-mère maternelle deux semaines tous les étés jusqu'à ce que j'ai 15 ans. Puis, j'ai adoré l'air et l'énergie de la ville de Vancouver, au Canada. J'ai aussi eu la chance de visiter Rio de Janeïro, de passer quelques temps aux Émirats-Unis et même à Sydney, en Australie. Je compte visiter tous les endroits du monde que j'ai rigoureusement inscrit sur une liste affectueusement nommée « Choses et endroits à voir avant de se ramasser six pieds sous terre ». Outre les déplacements outre-mer, j'aime bien la musique, je sais jouer de la guitare depuis que je sais marché, mais il y a au moins trois ans que je n'ai pas joué un seul accord. Manque de temps, d'envie, peut-être. J'ai une fâcheuse manie de vouloir apprendre la base d'à peu près tout dialecte que je croise, de peur de me faire insulter sans le savoir, alors j'apprends d'abord les insultes. Ça peut être utile, ça, et les salutations d'usages. Le second pour les affaires, le premier pour éviter de se faire traîner dans la boue en mandarin, par exemple. On est jamais trop prudents!
hey, what a beautiful mess this is La raison de votre présence à Yarmouth (mariage, habitants ou vacances ?) Je viens à peine de déballer mes trucs, je veux dire, débarquer dans mon appartement à Londres. Ça fait une semaine et demie qu'on était à Santorin, afin de conclure un contrat avec une firme qui venait de devenir une affiliée de la nôtre. J'ouvre les fenêtres, il pleut à en boire debout, mais ça sent le renfermé, ici. Faut croire qu'à ne pas y venir souvent, c'est à peu près normal. Je souris quand même, c'est bon de voir que tout est exactement à la même place que par le passé. Je passe devant la glace et remarque le petit teint hâlé, gracieuseté de la météo merveilleuse en Grèce. Je crois franchement que je fais le meilleur boulot du monde, et même si j'voudrais parfois avoir le temps de dormir entre deux causes, le monde des affaires n'arrête pas de tourner parce que Blake Lane a envie de roupiller. Je dépose ma valise sur mon lit, retire ce que je porte et prend la direction de la salle de bain. J'entends mon cellulaire qui sonne. Typique, ce moment-là, où je m'apprêtais à faire semblant que je revenais d'un ennuyant boulot de 8h3o à 17h à vouloir prendre une douche pour évacuer la tension « T'es pas mal de dos, Lane ». Je reconnaitrais cette voix entre mille. Je regarde à gauche, à droite, pour me retourner et la voir, dans l'entrée. Linnae. Elle m'avait dit qu'elle avait des trucs à voir avant de débarquer, mais comme d'habitude, elle arrive pile au moment où je me tiens en serviette et rien d'autres. Je ferme le combiné, amusé, et je croise les bras sur mon torse « Je vais commencer à croire que tu peux plus t'en empêcher de mater comme ça... ». Elle hausse les épaules, un sourire malicieux sur les lèvres. J'avoue que ce petit jeu est malsain, mais comme on est toujours parti et toujours ensemble, ça se devait d'arriver. Les hormones, voyez « Tu m'as démasquée ». Je la fixe du regard, sans dire quoi que ce soit. Soupçonneuse, elle me demande: « J'ai un truc sur le nez ou quoi ? ». J'éclate de rire. Vraiment, cette fille, c'est l'enfer « Je me demandais si tu comptais venir ou pourrir sur place, car jt'avouerai que c'est pas trop chaud avec les fenêtres ouvertes... ». On est deux adultes consentants. Des collègues, et donc ça devrait freiner un truc. Mais non. Parce que je sais d'emblée qu'en me retournant et marchant vers la salle de bain, Linnae n'est pas loin derrière...
« Vous partez pour Yarmouth ». Je lève un sourcil, on n'a rien à faire là-bas, c'est un trou paumé. Je me préparais à lui demander qu'est-ce qu'il y a à faire là-bas pour que mon patron m'expédie à cet endroit en pleine période d'émergence de nouveaux contrats. « T'a une sale gueule, Blake, tu le sais, ça ? ». Je suis débarqué de l'avion en provenance de Grèce hier en fin d'après-midi, j'ai passé un long moment sous la douche - pas seul, ce qui complique les choses - et je n'ai pas beaucoup dormi, pas seulement à cause du décalage horaire, alors ouais, malgré mes quelques petits efforts en me faisant appeler à 7h20 ce matin, je dois avoir un air pas très frais « Je suis désolé, c'est qu'on est arrivé tard hier et... » « Prendre congé, Blake, tu te rappeles ce que c'est ? ». Depuis un an et demi que je bosse ici, je me rappelle pas avoir pris un seul week-end. Je considère ce boulot comme une partie de plaisir, exténuante, mais une partie de plaisir. Tiens, ça me rappelle une toute autre sorte de jeu ça « Amène Fletcher avec toi ». Je doute pas qu'elle m'aurait suivi quand même, on connait plus grand monde, hormis nous deux, à force d'aller ça et là tout le temps « Profites-en pour t'envoyer en l'air avec une anglaise de campagne ». Mon patron a à peine la trentaine, ce qui veut dire qu'il peut se permettre de me lancer des trucs comme ça. Je crois pas être en mesure de discuter, alors j'acquiesce, me demandant ce que j'vais pouvoir faire pendant ces vacances forcées dans ce bled « Bien, monsieur ». Je soupire, et puis c'est moi qui vait devoir dire à Linnae qu'on est hors-jeu pendant un moment ? Suuuuuuuuuper!
pseudo : Emmecie âge : 19 ans avatar : Chaceeeeeeeee groupe : touristes
Dernière édition par Blake Lane-Phelps le Mar 26 Jan - 0:50, édité 3 fois | |
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